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Bienvenue sur le site des classes préparatoires littéraires du Lycée Jeanne d’Arc

Intégrer les classes préparatoires d’Hypokhâgne et de Khâgne au lycée Jeanne d’Arc, c’est faire le choix d’une formation ambitieuse et complète. Ambitieuse car vous préparant aux concours des grandes écoles ou vous permettant d’intégrer des cursus universitaires sélectifs. Complète car exigeante, pluridisciplinaire et ouverte sur des horizons culturels très variés.

Nous sommes très attachés à la qualité des enseignements mais également à celle de l’accompagnement de nos étudiants, gage de la réussite de chacun.

Nous rejoindre pour étudier en CPGE au lycée Jeanne d’Arc, c’est intégrer l’École de l’excellence mais aussi l’École de la bienveillance. Comme le montrent les parcours de nos anciens étudiants, c’est aussi construire et réussir ses projets d’avenir.

Découvrez dans les différentes pages de ce site le contenu, l’organisation, les débouchés de la formation. Et peut-être à bientôt ?

Gilles AMANIEU – Proviseur du Lycée Jeanne d’Arc

En prépa littéraire, on fait quoi ?

Un peu de vocabulaire

Que veut dire CPGE ? C’est l’acronyme de Classes Préparatoires aux Grandes Écoles. Ce type de formation est proposé dans certains lycées, aux bacheliers.

Il existe différents types de CPGE : dans les domaines scientifiques (les “maths sups”), littéraires (les “hypokhâgnes et khâgnes”), et économiques (les “prepa HEC”). 11% des bacheliers entrent chaque année en prépa !

Leur point commun ? au delà d’un vocabulaire particulier… viser la réussite aux concours d’entrée d”écoles” particulières, en général en 2 années : écoles de commerce/de management, écoles d’ingénieurs, mais aussi vétérinaires ou militaires, ENS (Écoles Normales Supérieures), École des chartes… avec un enseignement relativement dense, des évaluations régulières écrites et orales, et une émulation positive entre les étudiants.

Coté prépa littéraire, on parle de hypokhâgne pour la 1ère année, de khâgne pour la seconde année.

Une centaine de lycées en France propose une hyphokhâgne.

Les sigles A/L ou B/L indiquent une spécificité : Lettres pour A/L, Lettres et Sciences Sociales (avec des maths !) en B/L.

Les oraux d’entrainement ? on les appelle des “colles”.

Faire une 3ème année pour améliorer ses résultats aux concours ? “cuber”

Témoignages d'anciens

En quelques phrases…

« La prépa a été un véritable atout dans mon cursus et dans ma recherche de stages puisque les entreprises attachent une grande importance à la maîtrise de la langue française. »

Chloé, Master 1 Information Communication à Paris III, khâgne Lettres modernes 2014-2015.

« Mes années de prépa ont été de loin mes deux années d’études les plus stimulantes intellectuellement. »

Sarah, Double Master droit français et anglais à l’Université de Strasbourg, khâgne Lettres modernes, 2013-2014.

Sans la richesse de l’enseignement qui m’a été proposé pendant ces deux années et l’œil attentif de professeurs totalement investis dans leur mission d’éducation des jeunes gens, je n’aurais pas pu m’orienter sereinement dans la vie estudiantine et active.

Gaëlle, khâgne 2014, licenciée en études cinématographiques, en master de philosophie à Paris IV

Témoignages d'anciens

Le témoignage de Margaux, diplômée de l’IEP de Toulouse

J’ai fait un baccalauréat scientifique, option européenne anglais et je souhaitais intégrer un Institut d’Études Politiques. Faute d’avoir réussi le concours commun aux six IEP à l’issue de ma classe de Terminale, je suis arrivée en hypokhâgne.

De ce fait, mon unique objectif était d’avoir le concours à l’issue de cette année. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais on m’avait dit à l’époque que l’hypokhâgne serait la meilleure filière pour préparer les concours d’entrée des IEP.

Cette reconversion littéraire fut réussie, et me passionna bien plus que ce que j’avais imaginé. Cela m’a apporté une méthode de travail, une ouverture d’esprit, et beaucoup de connaissances dans de multiples domaines. Le fait d’avoir eu un objectif m’a permis de tenir le rythme et de mener de front et l’hypokhâgne et la préparation aux concours. Des cours optionnels étaient dispensés de manière à préparer les étudiants souhaitant intégrer aux concours des IEP.

J’ai passé plusieurs concours d’entrée : en deuxième année (Lyon, Lille, Toulouse), en filière franco-britannique (Lille et Bordeaux) et enfin le concours commun. J’ai finalement intégré l’IEP de Toulouse en deuxième année.

A posteriori, je conseillerais aux étudiants souhaitant intégrer un IEP de passer par la prépa – au moins en hypokhâgne – car les différents savoirs qui y sont enseignés me sont encore d’une très grande utilité aujourd’hui. L’année en hypokhâgne bien que difficile et éprouvante, a été très formatrice et je ne regrette absolument pas de l’avoir fait.